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| « Si tu ne veut rien dire, ce n'est pas grave ne dit rien » PV RAPHAELLE | |
| Auteur | Message |
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✗ Date d'inscription : 19/06/2012 ✗ Messages : 17 ✗ Célébrité : Marlon Teixeira ✗ Âge du perso : 17 ans...bientôt 18 =) ✗ Métier ou activité : Plus rien, il à était viré de Yale ✗ Localisation : A St-Gregorian par force ✗ Présent pour : Grande violences, mauvais comportement avec envers ces parents, Tentative de suicide, vente de drogue, course de voiture ilégal && combats de rues
| Sujet: « Si tu ne veut rien dire, ce n'est pas grave ne dit rien » PV RAPHAELLE Mer 20 Juin - 10:58 | |
| Le voyage jusqu'à cet horrible endroit où mon père avait décidé de me mettre, allait être vraiment très long. J'avais décidé de ne pas parler avec mes parents, ces deux hypocrites qui avaient décidé de se débarrasser de moi, oui moi, le méchant jumeau, au lieu de me parler, de savoir ce qu'il n'allait pas dans ma vie, ils ne voulaient plus de moi. Mes valises avaient été mises dans la limousine personnelle de mon père. Moi je mettais mis à l'arrière, les écouteurs sur les oreilles et la musique à fond, je n'avais pas envie de parler avec mes parents, d'ailleurs je leur en avait fait part, mon père avait répliqué " Si tu ne veux rien dire, ce n'est pas grave ne dit rien " je l'avais assassiné du regard, puis j'avais monté le son de la musique de mon iphone.
Le voyage dura longtemps, oui nous roulions depuis plusieurs heures, j'en avais mare, je regardais le paysage qui avait changé, je ne voyais plus un seul bâtiment, plus une seule maison, mais des champs à perte de vu, un véritable enfer pour moi. Ma mère assise à côté de moi avait essayé de me parler, mais j'étais resté muet comme une carpe, non mais elle croyait vraiment que j'allais lui parler, à ce moment même de ma vie je la haïssais, elle qui m'avait mis au monde, elle allait me laisser tomber, me laisser aller dans cette école, j'avais donc tournée la tête, moi un sale gosse, oui et alors?
Quand la limousine rentra dans l'école, je baissas la vitre de la limousine, histoire de voir à quoi ressemblait ma nouvelle demeure. Le chauffeur s'arrêta, je ne voulais pas sortir de la voiture, je n'en avais pas envie d'y descendre, mais bon je savais très bien que j'allais devoir le faire. Je mis mes lunettes de soleil sur mes yeux et sorti de la voiture. Je portait un jeans délavé, légèrement troué à certains endroits, mon haut était blanc, c'était un genre de pull très fin, avec un col en v, j'avais enfilé un bonnet en laine gris, oui un style vestimentaire, très moderne. Mon père était sorti de la limousine, ma mère pleurait à l'intérieur. Ce dernier me parla, mais je lui dis alors " Va te faire foutre... " mon père me regarda pendant un moment, leva la main et balança sa main pour me donner une gifle, mais il se stoppa à quelques centimètres de mon visage et me dit " Tu nous remercieras un jour " je lui dis alors " Tu peux toujours crever je m'en fou " Le chauffeur m'avait donné mes valises, je les pris et m'étais dirigé vers le hall d'entrée, avant de pénétrer dans cette nouvelle école. |
| | | ✗ Date d'inscription : 04/06/2012 ✗ Messages : 80 ✗ Célébrité : Laura Lafrate ✗ Âge du perso : 17 ans ✗ Métier ou activité : Pensionnaire ✗ Localisation : Dans un confessionnal ✗ Présent pour : Menaces répétés, mutilation de petits animaux, auto-mutilation, meurtre accidentel
| Sujet: Re: « Si tu ne veut rien dire, ce n'est pas grave ne dit rien » PV RAPHAELLE Mer 20 Juin - 18:47 | |
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C'était l'heure du midi, la demi-heure de temps libre que les jeunes du centre possédaient. Raphaëlle, comme d'habitude, se promenait dans le couloir, lorsqu'elle n'allait pas lire la bible dans sa chambre. Elle écoutait ses pas qui claquaient sur le sol à chaque fois que ses talons qui cognait le plancher. Sa main frôlait le mur proche d'elle. Elle était dans sa tête, elle pensait. Fantaisie. C'était l'un des rares moments qu'elle se laissait aller seule avec elle-même, sans nécessairement penser à des choses malsaines. Elle aimait s'imaginer encore petite, pure, simple. Se penser encore libre, libre de courir dans le gazon encore humide du matin sans qu'on ne la gronde, libre de jouer dans la clairière près de chez elle, libre d'être simplement elle. Pas qu'elle ne regrettait ce qu'elle était devenue, loin de là, il ne faut pas se méprendre. Mais on ne pouvait le nier : on a une liberté que l'on perd lorsque l'on grandit. Nostalgie.
Sa marche la mena dans le hall d'entrée, il faisait beau. On voyait, par la fenêtre, les rayons de soleil s'échouer sur le plancher, laissant voir la poussière flotter dans l'espace. Raphaëlle aperçut par ces mêmes fenêtres une limousine qui sembla assez luxueuse... « Un nouvel arrivant ? », se demanda la jeune blonde. Elle trouva surprenant de ne pas avoir personne s'occuper de lui... peut-être était-il en avance. Bref, elle fut témoin du dernier échange avec ce qui semblait être son père... ou son tuteur. Puisqu'il n'y avait personne, elle se dit qu'elle pourrait jouer au moins les guides pour qu'il se dirige vers son dortoir... Mais n'allez pas penser qu'elle y entrera, voyons.
Le jeune homme finit par entrer dans le hall d'entrée. Ce dernier n'avait pas l'air d'être de bonne humeur, elle comprenait. Il n'était pas encore au courant de la chance qui venait de lui tomber dessus. Pouvoir fréquenter ce centre n'est pas donner à tout le monde, et il n'y a pas beaucoup de personne qui semble être conscient de la chance qu'ils ont. De plus, i ne portait pas l'uniforme. Elle espéra pour lui que c'était simplement parce qu'il venait d'arriver, et non pas dans le but de ne pas se conformer au règlement. C'était pourtant un bien beau jeune homme. Raphaëlle se mordit la lèvre, il ne fallait pas.
Elle s'avança vers lui, et lui tendit la main :
— Bonjour, je me nomme Raphaëlle Orfèvre. Il devrait y avoir un membre du personnel qui t'accueille, mais bon... Je peux peut-être au moins te montrer où est ta chambre, et aller signaler ta présence à la direction. Est-ce que ça t'irait ?
Elle sourit gentiment. Après tout, malgré sa réputation, elle ne mordait pas pour rien.
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| | | ✗ Date d'inscription : 19/06/2012 ✗ Messages : 17 ✗ Célébrité : Marlon Teixeira ✗ Âge du perso : 17 ans...bientôt 18 =) ✗ Métier ou activité : Plus rien, il à était viré de Yale ✗ Localisation : A St-Gregorian par force ✗ Présent pour : Grande violences, mauvais comportement avec envers ces parents, Tentative de suicide, vente de drogue, course de voiture ilégal && combats de rues
| Sujet: Re: « Si tu ne veut rien dire, ce n'est pas grave ne dit rien » PV RAPHAELLE Jeu 21 Juin - 8:43 | |
| Je n'avais pas envie d'être ici, mais je pense que ce n'est pas la peine que je vous le précise, mes parents venaient de me laisser dans cet horrible endroit. Je ne regrettais pas du tout mes erreurs passées, ce n'était pas du tout mon style. J'avais des conneries, je les assumais, mais bon de là a devoir suivre des cours chez les bonnes sœurs, très peu pour moi, merci. Je jeta un coup d’œil en dehors du grand bâtiment, la limousine de mes parents venait de faire demi tour, je la regarda s'éloignait, en haïssant mon père, à ce moment même de ma vie je souhaitais sa mort, oui c'étaient des pensées très dures, mais je m'en moquais, je n'avais plus jamais envie de le revoir, même en sortant d'ici, il n'aurait plus de mes nouvelles...n'allais pas croire que j'allais revenir sur mes paroles, non quand je dis quelques choses je mis tient.
J'avais visité cet endroit avec mes parents, donc j'avais déjà pris connaissance du règlement, mais je l'avais déchiré et mis à la poubelle, cependant j'avais très bien lu que nous devions porter un uniforme, uniforme que je ne comptais pas du tout porter, je n'avais pas envie de ressembler à tous ces zombies, j'avais mon propre style vestimentaire. J'étais un garçon qui s'habille très bien, oui toujours très à la mode, certains pourraient dire que j'étais du genre précieux, mais pas du tout, je faisais juste attention à mon physique .
Je ne savais pas où aller, mais j'étais du genre débrouillard, j'avais donc prévu d'aller trouver quelqu'un de l'administration, mais avant même que je le fasse, une jeune fille vint se présenter à moi, le genre de lèche que je ne supportais, une petite sainte, cela se voyait, dans quel endroit mes parents m'avaient ils envoyés? J'avais l'impression d'être sur une autre planète. La demoiselle me fit un petit discours, elle donnait l'impression de l'avoir répété des dizaines de fois, elle me faisait penser à l'un de ces robots reprogrammé, plus personne de nos jours se présentait comme cela. J'eus un petit sourire au coin de la lèvre et lui dit alors
Rien à foudre que personne ne soit venu, je m'attendais pas à un accueil chaleureux...puis je n'es pas besoin de ton aide, elle est bien bonne celle là...
J'avais pris un de mes sacs sur mes épaules, j'avais envie de poser mes affaires, non pas que j'avais hâte de partager un dortoir avec d'autre garçon, mais bon je me voyais mal resté là en plein milieu du hall d'entrée. Je regardais cette fille en face de moi, c'était pas possible d'être comme cela, elle devait jouer la comédie, c'était obligé. Il la regarda et lui dit alors.
Dit moi toutes les nanas sont aussi lèche botte que toi ou alors c'est un jeu que tu joue pour te faire bien voir?
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| | | ✗ Date d'inscription : 04/06/2012 ✗ Messages : 80 ✗ Célébrité : Laura Lafrate ✗ Âge du perso : 17 ans ✗ Métier ou activité : Pensionnaire ✗ Localisation : Dans un confessionnal ✗ Présent pour : Menaces répétés, mutilation de petits animaux, auto-mutilation, meurtre accidentel
| Sujet: Re: « Si tu ne veut rien dire, ce n'est pas grave ne dit rien » PV RAPHAELLE Dim 24 Juin - 16:13 | |
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— Rien à foudre que personne ne soit venu, je m'attendais pas à un accueil chaleureux... puis je n'es pas besoin de ton aide, elle est bien bonne celle-là...
Bon, un autre frustré... Raphaëlle ne se laissa pas avoir par ses airs supérieurs : il était dans un état de faiblesse, il faisait fausse route. Il ne comprenait pas encore qu'il remercierait un jour le Seigneur d'avoir mie sur son chemin un centre comme celui-ci. Il ne fallait pas le juger, mais Raphaëlle trouva dommage de voir un autre jeune de son âge complètement révolté. Elle, lorsqu'elle avait mie les pieds dans cet endroit, bien sûr qu'elle n'était pas chaude à l'idée d'y passer un long séjour, comme tout le monde. Mais au moins, elle n'avait pas fait son enfant chialeur et immature, et elle avait accepté ce qu'il lui arrivait. Mais bon... ce n'est peut-être pas à la portée de tous.
— Dit moi toutes les nanas sont aussi lèche-botte que toi ou alors c'est un jeu que tu joues pour te faire bien voir ?
Typique : rabaisser les autres pour se sentir supérieur. Décidément, ce n'était qu'une autre brebis égarée... Il devenait de plus en plus prévisible. Trois jeunes sur quatre auraient été capables de lui sortir une vanne de ce genre... De plus, il fallait savoir que Raphaëlle n'était l'élève la plus populaire, des insultes, elle en avait plusieurs par jour. Elle en avait plus que l'habitude.
— Je comprends que tu ne sois pas enchanté à l'idée d'être dans le centre. Toutefois, je n'ai voulu qu'être gentille à ton égard... C'est tout. Alors, si tu essaies de m'impressionner avec tes insultes ou je ne sais quoi... c'est loupé.
Bien que les phrases cinglantes viennent encore la chercher, elle avait appris à beaucoup moins réagir à ces dernières. De plus, elle possédait elle-même une attitude suffisante : elle ne se laisserait pas faire aussi facilement.
— De plus, je n'apprécie guère que les gens insinuent que je fasse semblant d'être ce que je suis. Oui, j'aime respecter les règles, non, je ne fais pas cela pour l'image.
Elle lui lança un regard de bas en haut, replaça la jupe de son uniforme. Attendait-elle réellement une réponse du jeune homme ? Non, pas vraiment, ça ne l'intéressait guère de savoir quelle sottise il allait encore lui sortir pour lui montrer à quel point il n'a pas besoin d'être ici... Ce qui était un peu triste, c'était qu'il ne faisait que prouver un peu plus chaque fois qu'il avait réellement besoin d'être remis sur le droit chemin, et Raphaëlle en ferait partie, qu'il ne le veuille ou non. Puis, elle ne pouvait pas le laisser seul comme ça, le jour de son arrivée. Non, elle garderait un oeil sur lui, afin d'être sûre qu'il ne fasse pas de connerie... On ne sait jamais avec les nouveaux.
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| | | ✗ Date d'inscription : 19/06/2012 ✗ Messages : 17 ✗ Célébrité : Marlon Teixeira ✗ Âge du perso : 17 ans...bientôt 18 =) ✗ Métier ou activité : Plus rien, il à était viré de Yale ✗ Localisation : A St-Gregorian par force ✗ Présent pour : Grande violences, mauvais comportement avec envers ces parents, Tentative de suicide, vente de drogue, course de voiture ilégal && combats de rues
| Sujet: Re: « Si tu ne veut rien dire, ce n'est pas grave ne dit rien » PV RAPHAELLE Lun 25 Juin - 9:59 | |
| Être ici était la pire des choses que mon père pouvait me faire, oui je savais que c'était lui, il dirigeait sa famille d'une main de maitre et bien entendu ma mère ne disait jamais rien, elle disait amène à tout ce qu'il lui disait, mais bon pour cette " école " je pensais vraiment qu'elle ne l'aurait pas laissé faire, mais bon voilà elle avait accompagné mon père et l'avait laissé me laisser ici. J'étais en colère contre elle, encore plus en colère que je n'étais envers mon père. J'étais bien décidé à ne pas me laisser faire et à tout faire pour ne pas rester ici et pour cela j'étais prêt à tout, je n'avais rien à perdre ici. Bref revenons à la demoiselle qui se trouvait devant moi, elle était venue me parler et je l'avais envoyé boulé, certes ce n'était pas sympathique, mais je m'en moquais complètement. La jeune demoiselle fut compréhensible envers moi et me dit même qu'elle avait essayé d'être gentille, je la regarda et lui dit alors, avec un regard noir
Et bien la prochaine n'essaye pas...
Je le savais bien que je n'étais pas gentil, mais bon c'était pas nature. Bien entendu vous aller me dire que personne ne peut être naturellement méchant et bien détromper vous, moi je l'étais. J'avais regardé autour de moi, cette école avait l'air horrible, je ne me voyais pas du tout passer plusieurs années ici, encore moins porter leur uniforme horrible. Je ne supportais pas de porter la même chose que les autres, donc il pouvait toujours courir s'il s'attendait à ce que je porte cette horreur. La demoiselle me dit alors qu'elle ne faisait pas semblant d'être comme elle l'était, je la regarda avec un petit sourire, elle était sérieuse là? Elle était vraiment comme cela, j'espérais de tout coeur ne pas être comme elle, enfin je savais très bien que je ne serais pas comme elle, oui je ne deviendrais pas un robot, c'était hors de question, puis bon j'avais toujours dans l'espoir que ma mère craquerait et qu'elle viendrait me chercher. Je posa mon regard sur la jeune demoiselle, remis mon sac en place sur mes épaules et lui dit.
Ta vie est vraiment passionnante...
Je passa une main dans mes cheveux, chose que je faisais très souvent, car j'avais pas mal de cheveux, enfin je ne dis pas que j'en avais des tonnes, mais bon ce que j'avais me donnais beaucoup de charme, oui je le savais que j'étais beau et j'en jouais très souvent. |
| | | ✖ de Charybde en Scylla ✖ Won't you settle down with me ?✗ Date d'inscription : 30/05/2012 ✗ Messages : 173 ✗ Célébrité : anja konstantinova ✗ Âge du perso : 17 ans ✗ Métier ou activité : pensionnaire, suit les cours d'escalade et gymnastique ✗ Localisation : Dans le dortoir en train d'imaginer un nouveau mauvais coup contre les professeurs. ✗ Présent pour : Mutilations animales du type dissections, débauche complète (alcool, cigarettes, sexe & rock'n'roll) ✗ Permissions spéciales : Permission de salir les tapis et de mettre de la boue partout, permission de vous emmerder, permission de répondre aux professeurs pour se prendre des heures de pensum et être privée de dîner, permission de cracher sur vos chaussures et d'aller faire de même sur vos tombes.
| Sujet: Re: « Si tu ne veut rien dire, ce n'est pas grave ne dit rien » PV RAPHAELLE Lun 25 Juin - 21:49 | |
| Enfin une pause qui permet de se faire à l’idée de l’horreur que l’on va devoir manger au réfectoire. Et finir en plus. En gros certainement à nouveau une espèce de bouillie infecte et indéfinissable. A moins que vous n’ayez un peu de viande pour une fois. Quoique ça ne paraisse pas possible : on est vendredi. Bon eh ben on peut rajouter l’idée de deux-trois morceaux de poisson douteux flottant dans la ‘‘soupe’’ quotidienne. Tu as dit à Aiden que tu le retrouverais au réfectoire et il n’a pas émis d’objection majeure. Quand je te dis qu’il se fout de toi... Enfin bon, tu n’y crois pas, tu n’y crois pas c’est ton problème. Viens pas chialer quand tu seras confrontée à la vérité princesse. Non je ne dis plus rien, après tout tu veux que je me taise non ? T’as peur que je sème le doute dans ton petit esprit troublé je suppose... Fort bien je me fais aussi muette qu’une tombe que j’aimerais te voir rejoindre le plus vite. Préviens-moi quand la stèle apparaît dans ton champ de vision, que je puisse préparer la fanfare et les réjouissances.
Alors que tu déambules dans les couloirs - croisant de temps en temps un pensionnaire qui te salue ou s’écarte de ton passage selon son statut - et que tu approches de l’entrée principale, deux vois te parviennent. Tu identifies sans mal Raphaëlle et son ton chantant de petite fille mais ne parviens pas malgré tous tes efforts à identifier l’autre. Un homme ou garçon que tu ne connais pas. Tu pénètres dans le grand Hall. Effectivement, Raphaëlle te tourne le dos, sa cascade de cheveux aussi blonds que les tiens ondulant dans son dos maigre. Lui fait face un grand brun carré aux boucles qui te font un peu penser à celles de Milo en plus sombre. Il se passe la main machinalement dans lesdites boucles, geste que tu trouves extrêmement narcissique mais que tu exécutes souvent. Un sourire carnassier pendu aux lèvres, tu poses la main sur l’épaule de Raphaëlle :
« Tu répands ton fiel directement sur les nouveaux maintenant, cul-béni ? »
Tu jettes un regard à l’autre énergumène et continues dans l’oreille de la blonde pour qu’elle enrage :
« Si tu cherches à t’attirer ses faveurs, j’ai bien peur qu’il ne fasse pas un toutou aussi convaincant que Percy... »
Ah Percy... Tu as prononcé son nom comme si tu avais une langue de vipère à la place de la tienne. Quelle haine... Mais bientôt, tout ira mieux, tes images t’échapperont comme par hasard et se retrouveront placardées dans tout le pensionnat... Quelle douce vengeance ce sera de voir sa tête quand il découvrira qu’il est la nouvelle attraction de l’académie... Tu te passes la langue sur le bas de la canine, machinalement, comme pour savourer à l’avance. Puis tu lèves la tête - tu n’es pas très grande - vers le nouvel arrivant :
« Tu veux un conseil toi ? Ils n’ont pas encore remarqué ton arrivée alors barre-toi tant que tu peux encore. Je retiendrai la vipère pour qu’elle ne dise rien à son petit surveillant adoré... »
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| Sujet: Re: « Si tu ne veut rien dire, ce n'est pas grave ne dit rien » PV RAPHAELLE | |
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