✗ Date d'inscription : 16/05/2012 ✗ Messages : 263 ✗ Célébrité : Helena Bonham Carter ✗ Âge du perso : Approximatif. ✗ Métier ou activité : Secrétaire haut gradée, gérante du site. ✗ Présent pour : Tisser des excuses. ✗ Permissions spéciales : Permis de conduire, permis de sortir, droit à disposer de soi-même et d'embrasser la cause de St Gregorian (avec la langue).
Sujet: M.L Alvanley | De l'importance d'être Constant Dim 20 Mai - 7:38
•Margareth L Alvanley •
codage: Mrs Hyde ♦ célébrité: Helena Bonham Carter ♦ images: Bazzart
CARTE D’IDENTITÉ
• NOM ; Alvanley • PRÉNOM ; Lydia Margareth • ÂGE ; Tenu sous silence, menaçante quarantaine. • SEXE ; Femelle • ORIENTATION SEXUELLE ; Vraisemblablement asexuelle, mal baisée ou frigide. • STATUT MARITAL ; Aucun • ORIGINES ; Britannique
• GROUPE ; Big Bad Wolf • ACTIVITÉ/MÉTIER ; Intermédiaire administrative • RAISON DE SA PRÉSENCE ; La paye, le confort, le manque de scrupule et son petit cul vendeur.
VOICI MON HISTOIRE
Margaret Alvanley est une femme qui occupe un poste important au sein d’une industrie profondément patriarcale sans être ancrée dans un cercle ménager ou familial et sans porter l’habit de religieuse. Individu en décalage parfait avec son cosmos, elle purge son excentricité en se défonçant au travail. Margaret Alvanley est administrative et comme tous les êtres de paperasse, elle lève très rarement le nez sur sa réputation. Se considérant ostensiblement comme la personne la plus qualifiée de toute la sphère St Gregorian, la susnommée démago alimente son atypisme d’une forte féminité et d’un sarcasme stoïque en rapport avec les convenances d’un certain peuple rostbeef.
Issue d’un milieu modeste et bercée du protestantisme évangélique qu’avait arrangé le bon roi Henry, Margaret adopte la morale de sa famille qui décrète aux hommes de travailler dur afin d’élever leur position sociale. Ses racines anglaises persistent encore malgré l’exode. Jeune fille sans scandale, plutôt indécise comme il est ordinaire à ces âges, elle quitte le Royaume-Unis avec sa famille pour suivre la route du rêve américain malgré un patriotisme très fort. Âgée de quatorze ans, elle révèle un intérêt plus aigu pour ses études que pour son futur foyer ce qui, bien que très réjouissant pour son avenir professionnel, inquiétait profondément sa mère qui avait certainement à cet âge déjà sauté plusieurs marches. La morale religieuse de Lydia vacillait également et il advint qu’elle préféra sécher la messe hebdomadaire pour employer son temps à d’autres activités scolastiques ou oisives. Le conservatisme parental chercha à recadrer cette enfant à peine pénible pour lui offrir une perspective de futur plus sensible et personnalisée. Leurs petites réussites commerciales et financières portèrent leur choix sur l’institut St Gregorian sous le soleil torride de la frontière mexicaine. Margaret demeura deux ans avant d’exiger qu’on l’en retire. L’ambiance ne lui convenait guère et son insistance à chaque visite parentale en fit une des très rares évadés précoces du système Greg. Néanmoins, elle s’extirpa de cette brève envolée avec l’expérience d’un enseignement extrêmement spirituel. Son intellect demeura très marqué par la phallocratie insupportable du monastère, doublé d’une hiérarchie sociale dégueulasse. Elle n’en garde pas moins quelques très bons souvenirs et principes. Margaret n’est jamais retournée vivre sur la terre de ses ancêtres, outre quelques voyages. C’est d’ailleurs par rejet de cette américanisation qu’elle développa son affection de la vieille culture britannique. Remise sur le rail d’une scolarité classique, elle décroche un diplôme d’économie et do commerce spécialisé en communication et tout ce genre de chose pas causants qui régissent notre monde. Ses qualifications la conduisent à haut échelon. Successivement, elle gère les affaires d’un patron de radio, d’un magasin de vente en ligne, d’un agent d’actrice, d’une vieille avocate et d’un notaire. Bref, voit du beau monde. Ses compétences s’étendent à tous les domaines. Par le biais de ses connaissances, elle prend surtout les commandes de plusieurs campagnes de publicité qui connurent un vif succès.
Jamais mariée, jamais procréatrice et peu stable dans ses relations avec autrui, Margaret s’arrange avec sa sexualité peu gourmande et son job prenant. Âgé de trente-neuf ans, son fiancé décéda d’une overdose le soir de noël. Elle passa toute la fête à nettoyer le vomi sur la cuvette des toilettes pendant qu’on le brancardait. La soirée tomba à l’eau mais le programme télé avait pour une fois son intérêt. L’évènement fut sans suite mais cette union ratée souffla à Maggie l’occasion de ferrer son annuaire gauche. Il lui laissa un brillant sens de l’éthique et un compte bancaire tout ce qu’on fait de plus repu. Margaret repostula sur les listes de St Gregorian l’année suivante. L’établissement commençait à voir sa brochure jaunir pendant que la justice américaine prenait sa respiration pour plonger son énorme nez dans les affaires de l’école. Les situations un peu pourries dans ce parfum font toujours le bonheur de vos amis les médias. Margaret en congé deuil eut ouïe du merdier et proposa son aide et son certificat. Elle s’attira les embrassades chaleureuses de ce nouveau client en mettant quelques de ses contacts riches et généreux sur le coup. Ses agitations convergèrent vers la rénovation du bâtiment puis sur le lustrage de la réputation de St Gregorian. Il s’agissait de blanchir l’établissement au plus vite aux yeux des potentiels clients. Que les parents puissent visiter les lieux et jouir de bonheur face au cadre somptueux qu’on offrait à leur enfant. Laver la camionnette blanche jusqu’à ce que la vitre brille assez pour qu’on oublie le pédophile qui se tâte derrière. Un an plus tard les attaques judiciaires s’enveniment mais le collège religieux retrouve son image de marque. Le répertoire et les facultés de Margaret lui valurent une place au sein de l’équipe administrative. Elle reçoit une paye coquette pour faire respecter le règlement et transmettre les exigences du staff au personnel, les plaintes du personnel au staff. Un bonus lui est accordé pour son travail auprès des parents et de l’extérieur.
La direction fait preuve d’une exigence plus accrue auprès d’elle. Son salaire est bien plus bas que celui de ses collègues mâles et les surveillants la gratifie de leur mépris subtil et revêche. En touillant son Darjeeling, elle prie son interlocuteur de rester à bonne distance pour des raisons d’hygiène. Margaret assiste aux messes et proscrit l’ambiguïté des rapports entre pensionnaires au sein du pensionnat. Sa froideur tranquille et ses apparitions aussi élégantes que rares la rendent inqualifiable dans la faune fanatique. Elle se comporte auprès des internés comme une incarnation maternelle. Margaret ordonne les punitions et les recense. Ses tailleurs et ses talons font bruisser. Elle fait très sévèrement corriger la moindre parcelle de peau révélée par les jeunes pensionnaires. Sa voix douce et ses gestes lents inspirent, si non le respect, une forme de confiance. Sa journée est réglée comme une partition de musique. On la hait d’être aussi campée dans le système. Les tentatives de décrédibilisassions sont fréquentes. La moitié du personnel lui crache sur le portrait. Sa présence est vaporeuse. Elle s’amuse avec l’air de tout savoir sur les activités de chacun sans retenir la moitié d’un prénom. Margaret vous baise.
J'AI QUELQUES ANECDOTES
Margaret est millimétrée dans ses actions. Tous ses déplacements et ses actions s’enchaînent dans une harmonie parfois artificielle.
Possède le permis de conduire mais ne se pose jamais devant le volant. Les chauffeurs sont plus agréables.
Son véritable rôle au sein de St Gregorian est assez obscur. L'intitulé de sa profession est fait sur mesure. Elle veille surtout à l'image du pensionnat et au bon déroulement des choses.
En bonne british, Margaret ne craint ni les chutes brutales de températures ni les occasions de se faire remarquer. Son emploi du temps est parfaitement ordonné. A quatre heure du matin, elle plonge dans un bain glacé et avale un fond de whiskey au petit déjeuner. Ses tailleurs vifs contrastent avec le grisonnement des uniformes. Le thé à cinq heure n’est pas exclu.
Obsédée par les journaux.
Particulièrement polie. Néanmoins très sarcastique.
Margaret adopte régulièrement de jeunes pensionnaires. Il s’agit de se servir de la jeune personne pour transmettre ses ordres, faire ses tâches les plus ingrates. Le jeune être sélectionné la talonnera en tout lieu. Les récompenses vont du baiser sur le front au permis de sortie mais les sentences en cas de désobéissance sont également beaucoup plus sévères.
Très mauvais rapport avec les surveillants, sauf exception.
Use de contraception et laisse courir la rumeur comme quoi elle aurait arrangé l’avortement de nombreuses pensionnaires.
Collectionne les gants et les escarpins.
Possède une maison à Innocent Bourg.
Place son carnet de chèque au dessus de Dieu.
DERRIÈRE L'ECRAN
Je vaque ici et là sous le pseudonyme régulier du Tabu mais vous pouvez m’appeler Maggie pour des raisons de simplitude. J’ai seize ans, je m’amourache de ce projet et espère pouvoir me tenir à une fréquence de connexion régulière, quotidienne voire pluriquotidienne. J’ai fais mon entrée via Percy-Johnny et Milo et ai tenté d’aider comme on peut pour décrocher une petite promotion Je souhaite à mon personnage de trouver sa place et de ne pas se faire égorger trop vite. Amen.
Dernière édition par Margaret Alvanley le Mer 30 Mai - 6:06, édité 4 fois
Percy-John Brummell
✗ Date d'inscription : 13/05/2012 ✗ Messages : 170 ✗ Célébrité : Andrew Scott ✗ Âge du perso : 29 ans ✗ Métier ou activité : Surveillant ✗ Localisation : L'oeil dans un trou de serrure ✗ Présent pour : Déviances variées et diverses ✗ Permissions spéciales :
Permis de chasse • De caresser Milo avec le dos de la main • D'embrasser Raphaelle sur la joue • De regarder la manucure de Margaret • De filmer le dos de Scylla
Sujet: Re: M.L Alvanley | De l'importance d'être Constant Dim 20 Mai - 8:53
Et bien. Puisque ta discrétion t'interdit toute autonomie, je me charge de te valider, mon ange. Je ne sais pas si tu mérites ta couleur mais elle te va bien au teint. Amuses-toi bien.