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La campagne |
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Lumineux à la lisière, les anciens vous préviendront. S'enfoncer dans les bois n'est pas une bonne idée. Bien plus vaste que d'apparence, la forêt réclame une grande connaissance du terrain pour s'y aventurer avec brio. Les pensionnaires fugueurs s'y engouffrent le plus souvent et pour les en extirper, les surveillants font parfois appel à quelques chasseurs des environs ou au garde-chasse qu'on paye pour ça.
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| Voisin naturel du bois, croassant la nuit et effrayant en général, le marécage couvre plusieurs hectares et, bien qu'asséché par endroit, continue de servir de cachette aux chevreuils et aux pensionnaires de St Gregorian. L'humidité et la puanteur de l'endroit rebutent assez vite, il règne une atmosphère morbide au dessus des fougères d'eau.
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| Le chemin de fortune qui traverse le bois et permet aux bus et aux voitures d'accéder à St-Gregorian en venant du village. Il frôle le marécage. A pied, il faut environ deux heures pour le remonter. En voiture c'est l'affaire de quelques quarts d'heures. Des balises et des caméras sont suspendues aux arbres et reliées à la borne du monastère dans les huit kilomètres avant l'aperçu du parking.
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